dimanche 26 août 2018

Top départ des vacances d ' été 2018


Il était temps car nous commencions un peu à fatiguer entre le bureau et les travaux de rénovation de notre maison. Toutefois , malgré nos vacances tardives nous avons passé une belle saison estivale sans être en vacances :

-le suivi de cette magnifique coupe du monde en Russie et la belle victoire de la France. Je n'ai jamais connu la France comme cela, c'était super. Qu'elle est belle cette diversité, qu'ils sont beaux ces drapeaux bleu blanc rouge, qu'il est fort ce chant de la Marseillaise repris à l'unisson,

Crédit images : Ouest France

Crédit image: Cosmopolitain
Bien que j'étais au travail à cette période j'avais toujours la tenue de circonstance quand les bleus jouaient !!


-le bel été sur tout le territoire français (et pas seulement que dans le sud. Na!). Cela faisait énormément de bien de se rendre au travail sous ce soleil lumineux, de revoir des papillons, des abeilles et des températures dépassant les 35°. Oui j'adore la chaleur.

Crédit: google images
Mais maintenant c'est notre tour. Vendredi soir j'ai donc éteint mon ordinateur de bureau. Monsieur Mon Mari a fait de même de son côté. A nous les vacances.

Cette année notre1ère étape a été familiale. Nous avons en effet passé quelques jours chez mes parents à Bordeaux dans le sud ouest de la France. Nous avons fait la route le samedi matin pour une arrivée parfaite pour déjeuner !!

De retour à Paris voici un petit résumé de nos deux premiers jours de vacances :

Samedi

Pendant que mon mari faisait une petite sieste pour se remettre des plus de 500 km de route en voiture, je suis partie avec ma maman faire une petite promenade.

Visiblement mon chat aussi avait besoin de faire une sieste !
Quand je viens j'aime bien aller faire un tour au centre commercial de Bordeaux Lac où j'ai travaillé quand j'étais étudiante lors de mes jobs d'été (et où accessoirement j'ai pu rencontrer mon futur mari!!). Au cours de notre promenade j'ai craqué pour un ensemble de vaisselle japonaise qui va bientôt rejoindre notre cuisine …... dés que celle-ci sera définitivement finie. #rénovationencours !



J'ai surtout craqué pour son joli liseré doré.


Comme nous avions fait la route le matin, le reste de la journée c'est plutôt déroulée dans le calme. Après dîner nous avons terminé la soirée devant un bon film « Instinct de survie ».

crédit images: Allo Ciné
Superbe thriller aquatique qui raconte le combat de survie d'une surfeuse – Blake Lively – face à un requin blanc.

Crédit images Allo ciné

Nancy surfe en solitaire sur une plage isolée lorsqu'elle est attaquée par un requin blanc. Elle se réfugie sur un rocher. Elle est à moins de 200 mètres du bord de la plage pour être sauvée mais pour regagner la terre ferme elle va devoir mener un combat mortel.


crédit google images


Le film nous met les nerfs à rude épreuve pendant 85 minutes ! La miss assure comme une grande et nous confirme qu'elle peut tenir un film sur ses épaules à elle toute seule. Les scènes sont bien tournées, des plans à la fois serrés sur elle seule sur son rocher en compagnie de son amie de fortune, mais aussi lumineux avec ces belles prises du bleu translucide de l'océan.

crédit google images

Je le classe parmi mes films préférés de « requins » avec « Les dents de la mer » de Steven Spielberg et « Peur bleue » de Jaume Collet-Serrat. Bien loin de toutes ces séries Z qui ont fait du mal à ce genre cinématographique (je n'ose même pas aller lire les critiques du film de Jason Statham actuellement sur les écrans qui combat un requin géant comme si les requins lambda n'était pas assez fort pour se mesurer à lui....).

Petit aparté, dernièrement en lisant un article sur les requins je suis tombée sur un document intéressant qui classe la dangerosité des requins pour l'homme. Finalement nous sommes loin de la réalité par rapport à l'idée que l'on s'en fait. Je le glisse ici car c'est toujours marrant de voir à quel point l'on peut être loin de la réalité.


Crédit images: Géo magazine

 Et je vous glisse également cette image que j'ai trouvé mimi !!

Crédit Google images

Dimanche

Premier Escape Game en famille. Crise de rire.... ou de peur garantie !! Pour cette première j'avais réservé à l'escape game de Talence « The Hostel » et opté pour la chambre n° 1408.



Confidentialité oblige je ne peux pas vous dévoiler le scénario mais voici le petit speech qui m'a fait choisir cette chambre:

« La chambre 1408 fut le théâtre d’une tragédie et est aujourd’hui une pièce condamnée de l’hôtel. Il y a 100 ans, l’ancien propriétaire des lieux s’adonnait, avec des amis, à une pratique très en vogue à l’époque : le spiritisme. Un soir, lors d’une de ces fameuses séances, survint un terrible drame suite à une mauvaise décision collective. Depuis, dans cette chambre, un temps reconvertie en bibliothèque, se produisent d’étranges phénomènes. Encore une simple histoire de fantôme à dormir debout ? Et si c’était plus compliqué que ça ?
Venez en aide à l’hôtel et tentez d’exorciser ses démons. »

L'expérience fut vraiment génial !! Le scénario était bien monté, l'endroit était parfaitement décoré pour une immersion totale dans un hôtel hanté. Nous sommes restés « coincés » 1h25 ce qui pour une première est honorable selon les dires de notre majordome puisque cette chambre n'est pas l'une des plus facile pour débuter. Le groupe le plus long est resté 1H45 et le plus rapide - deux personnes - 40 minutes. Ceci dit, ces deux personnes avaient quand même plus de 180 escape game à leur actif....!!!!

Après être sortie « vivant » nous avons pu débriefer avec l'équipe dans un charmant petit salon autour d'un verre.

On s'en est sorti vivant :)


Après ce moment fort en émotion nous sommes partis déjeuner chez McDonald, puis avons terminé la journée au Bowling où papa a gagné les 2 partis (ce qui a créé beaucoup de jalousie!)

Bowling du Pian Médoc

Je vous souhaite une bonne journée et reviendrai ici pour vous raconter la suite.


samedi 18 août 2018

Un brunch d’anniversaire à la maison

Il y a maintenant quelques semaines j’ai fêté mon anniversaire à la maison avec quelques amies.

Nous avons passé un super moment entre filles au milieu des cartons et malgré un déménagement en cours ! En effet, l’organisation de cet anniversaire n’était toutefois pas gagnée, car j’avais hésité longuement à le faire. Un coup envie et puis un coup non, des problèmes de santé qui me gâchent la vie et le moral, allais-je me lever avec des douleurs le jour de ma fête et faire la tête, deux ans déjà que je ne me reconnaissais plus et que je devais faire semblant avec les autres…

Difficile. Me suis-je dit.

Mais faisable. Ai-je rajouté.

Et je me suis donc lancé et je n’ai pas regretté. Nous avons passé un très bon moment et j’ai bien été gâtée.




Les gourmandises étaient également au rendez-vous.

Bien sûr l’organisation de cet anniversaire à la dernière minute n’était pas digne de mes organisations habituelles mais bon comme on dit c’est l’intention qui compte;)

Ainsi, pas de joli carton d’invitation mais un simple mail :

« Mesdames, je vous propose de me retrouver chez moi pour un petit brunch d’anniversaire. Cela sera l’occasion de fêter mes 19 printemps mais aussi de dire au revoir à mon fabuleux ET magnifique appartement que je quitte à regret pour rejoindre une bicoque en cours de rénovation
- Rien d’ostentatoire (à la bonne franquette et dans de la vaisselle dépareillée).
- Petite fête (en comité restreint).
- Au milieu de cartons (mais dans la joie et la bonne humeur)
- En banlieue (cette fois-ci sans péniche et sans Tour Eiffel).
Sissi Le Chat et moi vous attendons à partir de 12 h ».

À ma grande surprise tout le monde à répondu dans la minute. Cela m’a fait chaud au cœur et m’a rassuré dans ma démarche à 2 balles !
Au menu voilà ce que j’ai servi :


Sucré
-Mini-viennoiseries
-baguettes
-beurre, miel, confitures, nutella
-Cake citron-pavot
-Pain d’épices
-Mini moelleux au chocolat
-Roses des sables
-Salade de fruitsfraises, Mûres, Mangues, Kiwi, Orange
Salé
-Muffins aux figues séchées et au chèvre
-Tarte au saumon fumé et aux poireaux
-Quiche Lorraine
-Salade verte aux pommes et aux noix
-Brochettes tomates-cerise/emmental
-Brochettes tomates-cerise/olives noires
-Bâtonnets de légumes (concombre/carotte/radis) et crème de Houmous / crème Tatziki
Boissons Chaudes
-Thé noir citron
-Thé Earl Grey
-Café
-Chocolat chaud au lait d’amande
Boissons Fraîches
-Jus d’orange
-Jus de pamplemousse rose
-eau aromatisée menthe
-eau aromatisée citron

Lorsque ma cuisine sera terminée (et oui aujourd’hui j’ai enfin déménagé dans ma fameuse bicoque!) je referai quelques plats et je glisserai ici les recettes avec quelques photos.

Kiss

jeudi 16 août 2018

Un brunch littéraire à l'hôtel Providence autour du livre Nana de Zola #5

Aujourd’hui, petit article sur un merveilleux brunch littéraire que j’ai testé avec quelques amis. Nous nous sommes réunis au restaurant de l’hôtel « Providence » pour discuter tranquillement autour du livre d’Émile Zola « Nana ».




Avant de vous détailler plus en détail le délicieux brunch que nous avons dégusté voici un petit résumé du livre au cœur de notre discussion :


Nana (date de parution 1880)



L’héroïne de cette histoire se prénomme Nana.
Nana est une courtisane dont le Tout-Paris applaudit les débuts comme actrice au Théâtre des Variétés dirigé par Bordenave. Les habitués du lieu (journalistes, aristocrates et étudiants) discutent de ce nouveau personnage et considèrent tous Nana comme une piètre actrice sans talent. Toutefois, ils sont fortement « émoustillés » par son rôle de Vénus où elle est apparue totalement nue sur scène…
Le roman la peint dès le chapitre suivant comme une femme manquant d’argent pour élever son fils Louiset qu’elle a eu très jeune. Elle habite un bel appartement où l’un de ses amants l’a installée, mais il apparaît rapidement qu’elle vit au-dessus de ses moyens, ayant notamment beaucoup de mal à payer ses fournisseurs. Aussi, elle doit faire des passes pour arrondir ses fins de mois…
Son appartement est aussi un lieu de rencontres où se croisent de nombreux hommes : simples visiteurs, fournisseurs, coiffeurs, amies, clients ou soupirants, mais aussi hommes de bonne renommée évoluant dans les plus hautes sphères politiques comme le comte Muffat, chambellan de Napoléon III, un homme âgé et marié, très dévot et au langage châtié.
Le succès de la pièce « Vénus » vaut à Nana de nombreux hommages. Parmi les plus marquants ceux d’un prince ou encore ceux du banquier Steiner qui lui offre une maison à la campagne.
Aussitôt, Nana part se reposer dans sa somptueuse maison à la campagne, où elle a comme voisine la Comtesse Muffat. Le premier soir Nana s’offre une aventure avec Georges, un jeune adolescent.
Mais Steiner la rejoint ainsi que le comte Muffat désormais obsédé par elle. Elle refuse pourtant de se donner au Comte.
De retour à Paris, Nana reçoit régulièrement les visites de Steiner et du comte Muffat. Pour échapper à ses créanciers, elle décide de tout abandonner et part vivre – pour une vie simple – avec le nouvel élu de son cœur, l’acteur Fontan qui très rapidement va la battre et lui couper les vivres.
Malheureuse, Nana se tourne vers Satin – une prostituée de rue avec qui elle a fait le trottoir à ses débuts – avec qui elle va entretenir une relation homosexuelle.
Du jour au lendemain Fontan la jette dehors. Désormais sans le sous c’est grâce aux agissements d’un entremetteur que Nana va récupérer le comte Muffat qui, entre temps, lui a fait quelques infidélités avec Rose Mignon, l’actrice fétiche du moment au Théâtre des Variétés.

Subjugué par elle et malgré le ridicule de sa demande, il lui obtient le rôle dont elle rêve, celui de la femme honnête dans la nouvelle pièce du Théâtre des Variétés. Bien que la représentation soit un désastre, Nana est relancée. Le comte Muffat dépose d’ailleurs toute sa fortune aux pieds de Nana, offrant toilettes, hôtel luxueux, bijoux, à une seule condition : sa fidélité.
Nana adopte alors une vie de luxe et trompe aussitôt Muffat avec le jeune Georges venu la rejoindre en cachette, puis avec Philippe le frère de ce dernier. Dans ce luxe elle s’ennuie pourtant et rappelle son amante Satin. La générosité du comte et de ses nombreux amants ne parviennent pas à satisfaire tous ses besoins. Elle demande à ses amants tellement de chose qu’elle les détruit au passage sans aucun état d’âme : Philippe est emprisonné pour vol et apprenant la liaison de son frère Philippe avec Nana, Georges se suicide chez elle.
Nana devient de plus en plus cruelle avec le comte Muffat. Elle parade dans le beau monde, couchant partout, s’amourachant de n’importe qui, se débauchant pour vaincre l’ennui, ruinant les hommes les uns après les autres.
Nana finit par tout vendre et disparaît pour voyager. De nombreux bruits courent sur son compte. On lui prête des aventures féeriques en Égypte.
Plusieurs mois après, elle revient à Paris voir son fils atteint de la variole, elle contracte elle aussi la maladie et meurt. 


 
Mon avis
Neuvième volet de la série littéraire des Rougon-Macquart, « Nana » n’est pas mon Zola préféré, pourtant j’ai lu ce livre avec intérêt, car il détaille bien la place de la femme dans la société française du XIXème siècle. Il met également bien en lumière la dépravation de son époque. Toutefois, j’ai lu ce livre plus comme un reportage que comme un roman. Cette optique de lecture m’a permis de le lire jusqu’à la fin et de dépasser mon horreur du personnage de Nana que je n’ai pas du tout aimé ! Je n’aime pas son narcissisme et son absence de honte.


Le début du livre part dans tous les sens avec une volée de personnage ce qui ne m’a pas facilité la lecture. En effet, le livre commence directement avec le début du spectacle de Vénus avec l’introduction directe et brutale d’une multitude de personnages. A cela s’ajoute la description en plein « rush » du déroulement du spectacle aussi bien sur scène, dans le public et dans les coulisses. J’imagine que l’auteur a sûrement voulu transcrire l’effervescence du monde du spectacle, mais au cours de ces premiers et longs chapitres je ne savais plus qui était qui… ! D’autant plus qu’il fallait naviguer à travers les lourdes et longues descriptions de luxe et de débauches des plus hautes sphères…


Ce n’est qu’à partir de la moitié du livre (chapitre VIII exactement !) que la narration ralentie et que l’on entre plus précisément dans le fonctionnement de certains personnages. Au fil de la lecture l’on comprend où souhaite nous emmener Zola ou du moins ceux vers quoi il veut que l’on s’interroge :


-l’existence de relations de connivence entre le monde du spectacle et le journalisme moyennant des avantages divers et variés en retour,


-la mise en lumière de l’homosexualité féminine, sujet absolument tabou à l’époque ce qui démontre le courage littéraire de l’auteur,


-l’existence de deux type de prostitution : celle « classique » et celle de luxe,


-la place de la femme.


Ce dernier point m’a passionné. En effet, à l’époque la place de la femme est assez bien délimitée. Quatre positions sociales lui sont allouées :
-la femme mariée, sans profession, apanage des classes aisées,
-la nonne, faisant souvent également office d’infirmière,
-la femme « du peuple » mariée ou non et exerçant une profession telle que couturière, vendeuse, ouvrière, lessiveuse, domestique,
-et enfin la femme déchue, autrement dit la prostituée, infréquentable par les trois susnommées.


Cependant commence a émergé un groupe social nouveau qui a engendré pour la femme une cinquième « voie ». Ce groupe a été nommé « demi-mondaine » par Alexandre Dumas fils lequel, épris de la célèbre « Dame aux Camélias », était bien placé pour observer de près l’un de ses spécimens... La « demi-mondaine », ou encore « cocotte », n’est pas une prostituée qui est un terme trop réducteur pour elle puisque ce type de femmes vit certes de ses charmes mais pas seulement, car la plupart du temps elle est aussi actrice. Elle est également libre de choisir ses amants, souvent riches et de fixer elle-même son prix (hôtel particulier, maison de campagne, bijoux, robes, tableaux…).
Cette nouvelle catégorie de femme a donc permis à des écrivains comme Zola de parler de ce demi-monde sans scrupule aux mœurs cruelles et extravagantes mais également d’introduire cette première « émancipation de la femme par le sexe » face au mâle jusqu’à maintenant dominant. Ne l’oublions pas au 19ᵉ siècle, la femme reste sous l’autorité du père, du mari, du frère, du patron…La femme devra attendre la Première Guerre mondiale pour acquérir un début de reconnaissance…



Notre débat fut enflammé entre les pro-Nana et les anti-Nana ! Heureusement que le brunch a fait l’unanimité et nous a réconcilié !





Tout d'abord le cadre du restaurant qui est à lui seul une pause hors du temps avec ses chaises en bois, sa tapisserie à fleur et ses tableaux ancien Empire. 




L'atmosphère y est très "british " avec ses fauteuils "chesterfield".



Il propose un brunch avec une partie buffet - où il y a énormément de choix - et une assiette salée en service à table. Le brunch est à 32e. Nous avons passé un super moment gustatif, voici le menu:

Au buffet:

Jus de fruits frais au choix,

Café, thé ou chocolat chaud au choix sélection "Maison Richard",

Baguettes parisiennes et viennoiseries servie avec miel, confiture et beurre,

Cake maison du Chef,

Financiers,

Chouquettes,

Gaufres liégeoises,
 
fromage blanc maison,

Muesli bio,

Fruits frais de saison



A table au choix:

Oeuf Bénédicte et champignon de saison, ou

Tartine d'avocat œuf poché et graines de lin, - ce que j'ai choisi !!!! - ou




Le welch - que mon amie a choisi - ou







Morteau légumes verts au jus, - qui a également été choisi !!! - ou




 
Salade de saumon fumé d’Écosse pommes de terre grenailles -que mon 

autre ami a choisi -






Un brunch que je recommande chaudement !!

Kiss

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Hôtel Providence Paris

90 rue Réné Boulanger

75 010 Paris

Brunch 32 e (sur réservation)
 

samedi 7 avril 2018

Un week-end gourmand en Lorraine

Hello,

Il y a à peine un mois j’ai eu la chance de découvrir Nancy, Metz et ses environs grâce à ma meilleure amie qui m’a invité chez sa famille.

Ce fut une belle découverte agrémentée de bons moments gustatifs !

C’est vrai je ne connaissais pas du tout le Nord-Est de la France, il faut dire qu’avec mon mari nous partons traditionnellement en congés à l’étranger contrairement à ma meilleure amie qui elle connaît la France et ses régions sur le bout des doigts. D’ailleurs, le peu de vacances que j’ai passé en France l’ont été en majorité avec elle à force de persuasion de sa part pour l’accompagner et découvrir « le pays » …!

En arrivant à la gare de Nancy un vendredi après midi ensoleillé nous avons directement commencé notre we par une pause gourmande chez Hulot, une chic pâtisserie située sur la place Charles Trois où nous avons dégusté un délicieux chocolat viennois et une pâtisserie.







Pour ma part, j’ai choisi une douceur à la crème pralinée avec un biscuit à la noisette. Joliment nommé « A ma place » il y avait beaucoup de craquant grâce à un biscuit soufflé et un craquant praliné. Un délice !


Nous nous sommes ensuite promenées dans la ville où j’ai découvert la jolie place Stanislas datant du XVIII ème siècle. 








Inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO j’ai trouvé cette place très belle et atypique pour cette petite ville. D’ailleurs curieuse, à mon retour chez moi j’ai fait quelques recherches sur cette place. Voici le petit paragraphe lu sur Wikipédia qui synthétise très bien ce que l’on ressent lorsque l’on voit cette place royale : « L’architecture et les monuments qui la composent sont plus typiques d’une capitale d’Ancien régime que d’une simple cité de province ».









Nous avons ensuite traversé le joli parc public de La Pépinière juste à côté de la Place Stanislas. Ce parc doit son nom à sa fonction initiale celle de pépinière royale qui servait de réserve arboricole. Très sympathique il y a même des animaux : lapins, cygnes, singes, oies, canard et paon.








Le lendemain nous nous sommes rendues à Metz pour déjeuner dans un restaurant gastronomique « Le jardin des chefs ».







Avec un accueil très professionnel, un cadre champêtre bien sympathique et des assiettes goûteuses et dépaysantes, le lieu n’a pas à rougir face aux restaurants de la capitale.










 J’ai suivi les conseils de mon amie et choisi le menu épicurien à 44e.


Voici nos assiettes :

-Mise en bouche au fil des saisons : Verrine au potiron.





-Entrée : Foie gras de canard, gelée de framboises, chutney de pommes et d’oignons rouges, pain fusette.









-Plat : Spaghettis noirs, chips de Serrano et crème de Soubise.










-Pré-dessert : mousse au chocolat et son crumble.










-Dessert : Pavlova framboise meringue craquante, coulis framboise crème légère et sorbet mangue.








Pour la beauté de l'assiette je vous montre également la délicieuse sphère au chocolat de mon amie!









 Le repas fut clôturé par quelques gourmandises sucrées : une truffe, un sablé et une pâte de fruit.










 Après ce bon repas nous avons terminé notre belle journée par une séance de shopping. Lors d'un prochain article je vous montrerai mes petits achats mode. 

En attendant je vous souhaite d'ors et déjà un bon we en espérant que le soleil pointe le bout de son nez !

Kiss